Auteur/autrice : Jonathan

Faisant partie des techniques modernes de psychothérapie, la thérapie par l’art existe officiellement depuis les années 1930. La discipline reste cependant méconnue du grand public même si elle est accessible à tous. Elle a fait surtout l’objet de nombreuses études qui peuvent changer aujourd’hui sa popularité auprès des personnes qui en ont vraiment besoin.

La neuroscience explique le principe de la thérapie par l’art

Il faut reconnaître qu’utiliser l’expression artistique pour évaluer et soigner les troubles psychologiques soulève certaines questions. C’est pourquoi la neuroscience s’est longuement penchée sur le sujet et apporte enfin des éclaircissements sur le principe et le fonctionnement de l’art-thérapie. Depuis toujours, les scientifiques ont divisé le cerveau en deux parties : l’hémisphère gauche et l’hémisphère droit. Chacune ayant des attributions distinctes, la logique, l’intellect et l’analytique pour le gauche. Le côté droit traite tout ce qui est artistique, émotionnel, intuitif ou symbolique. Les neuroscientifiques ont su également démontrer que certains souvenirs traumatisants sont bloqués dans les régions inconscientes que la parole ne parvient pas à traiter.

Ils ont alors étudié de près le pouvoir expressif sur ces endroits inaccessibles au verbal. Il s’avère que la stimulation des aires somatosensorielles et motrices du cerveau droit fraie un chemin neurologique vers les mémoires implicites. Ces derniers résident dans l’inconscient, dans le cerveau gauche. Cela prouve que ce qui ne peut être explicité verbalement peut être abordé à travers des expressions plus tangibles, mais non-verbales. Une expérience qui date de 1990 confirme même l’hypothèse selon laquelle dessiner son cauchemar ne traumatise pas une personne. À l’inverse, cette dernière le revit lorsqu’il le raconte oralement. L’art-thérapie s’appuie donc sur des principes scientifiquement justes et en aucun cas, ne relève pas de l’effet placebo.

Découvrir tous les pouvoirs de l’art-thérapie sur la santé

Sous l’égide d’un art-thérapeute, les patients vont participer à des exercices artistiques. Le choix des techniques (musicothérapie, danse thérapie, art plastique, etc. ) dépend de son seul jugement. Il s’agit d’évaluer l’état psychologique de chaque personne et d’établir un plan de traitement adéquat. Effectuée en groupe ou individuellement, la thérapie par l’art peut aider les personnes à gérer leur stress et leurs émotions. Elle est recommandée à ceux qui souffrent d’une phobie particulière. Chez les personnes âgées, une intervention d’art-thérapie peut améliorer leur bien-être émotionnel. En 2010, deux revues scientifiques ont affirmé qu’elle est bénéfique pour les personnes atteintes de cancer.

Il ne faut pas non plus oublier l’essence première de cette discipline, celle d’éveiller les sens et de stimuler la créativité. Les patients n’ont pas besoin de présenter un trouble quelconque pour participer à une séance d’art-thérapie. Certaines techniques d’art-thérapie peuvent même les aider à améliorer leur mémoire. Étant un moyen de s’exprimer autrement, cette pratique est également efficace pour surmonter les épreuves de la vie (deuil, maladie, séparation, etc. ). Par ailleurs, la thérapie par l’art peut aussi intervenir dans le cadre d’un développement personnel et professionnel. Elle booste notamment la confiance en soi et l’estime de soi. Pour en savoir plus visiter www.artherapie.com

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La sciatique est une douleur sur le nerf sciatique droit ou gauche (ou les deux). C’est le plus gros nerf du corps. Il se déplace de la colonne lombaire aux pieds ; est responsable de la motricité et de la sensibilité des membres inférieurs qu’il innerve.

En France, 5 à 10 % des patients lombalgiques souffrent de sciatique. La plupart du temps à sens unique. Nous expliquons comment mettre fin à la sciatique avec un traitement ostéopathique.

Qu’est-ce que la sciatique ?

Vous avez sans doute entendu dire que lorsque vous avez mal à la jambe, vous pensez à la sciatique. Mais qu’est-ce que c’est exactement ?

Sciatique, comme son nom l’indique, est une douleur le long du trajet du nerf sciatique. Si elle s’accompagne de lombalgies, on parle de sciatique lombaire.

Le nerf sciatique est le nerf le plus gros du corps. Il assure les fonctions sensorielles et motrices de la jambe : c’est un nerf mixte. Il provient de plusieurs racines aux niveaux lombaire et sacré et n’innerve pas la même partie de la jambe; selon qu’il provient d’une racine ou de l’autre; ce qui peut aider à déterminer la cause en fonction de la localisation de la douleur. Les deux racines pivotantes sont L5 et S1. Ainsi; la sciatique fait référence à la douleur le long du trajet d’un nerf lorsque ce nerf est comprimé, enflammé ou endommagé. Il est possible de soulager les douleurs sciatiques en consultant un ostéopathe expérimenté comme l’ostéopathe à Paris 16.

Quelles sont les causes de la sciatique ?

Il a plusieurs causes de la sciatique :

• Syndrome ou irritation des facettes articulaires : les articulations situées derrière les vertèbres dans le bas du dos sont irritées.
• Rétrécissement du canal rachidien lombaire ou sténose rachidienne lombaire : Il s’agit d’une affection dégénérative qui comprime les racines nerveuses, provoquant des douleurs dans les membres inférieurs.
• Choc et traumatisme : fractures, ecchymoses ou mouvements brusques ;
• Syndrome pyramidus ou piriforme : Le piriforme est un muscle plat situé dans les fesses près des fesses qui se contracte et exerce une pression sur le nerf sciatique.
• Grossesse : Le poids de l’abdomen est placé sur la colonne vertébrale, provoquant une pression accrue sur les disques intervertébraux.Cette pression pince le nerf sciatique.
• Hernie discale : Un disque affaibli dans la colonne vertébrale en raison d’un stress répété, comme le fait de porter un objet lourd. Une pression répétée peut provoquer une hernie discale, comprimant le nerf. Pour traiter à temps les douleurs sciatiques, vous pouvez consulter un ostéopathe renommé comme l’ostéopathe à Paris 16.

Quels sont les symptômes de la sciatique ?

La douleurest le premier symptôme. Cependant, son emplacement varie en fonction de la racine nerveuse touchée.

La sciatique L5 provoque des douleurs au niveau des fesses, puis du côté de la cuisse, du côté du mollet, et parfois même du dessus du pied.

La sciatique S1 provoque des douleurs dans les fesses, l’arrière de la cuisse, l’arrière du mollet et peut même atteindre le bas du pied.

La plupart du temps, la sciatique est douloureuse d’un seul côté, mais dans certaines conditions, comme la sténose lombaire (notamment l’arthrose), elle peut être bilatérale. Si la douleur ne commence pas dans la hanche, mais dans le bas du dos, c’est une sciatique. Cette douleur est généralement déclenchée par un effort, comme soulever des objets lourds. Souvent aggravé par la position assise prolongée, l’effort et la toux ou les éternuements impulsifs. La douleur est généralement plus supportable lorsque vous vous allongez.

Dyskinésie : Lorsque le nerf sciatique est comprimé ou endommagé, vous pouvez ressentir une perte de force dans votre jambe ou votre pied.

Picotements et même troubles sensoriels : Lorsque les racines nerveuses sont touchées, vous pouvez ressentir des picotements, un engourdissement des extrémités et parfois une perte de sensibilité. Si vous souffrez d’une douleur sciatique, nous vous recommandons de consulter un ostéopathe compétent comme l’ostéopathe à Paris 16.

Sciatique : pourquoi consulter un ostéopathe ?

Lorsqu’il n’y a pas de pathologie associée, la sciatique peut résulter d’une perte de mobilité articulaire, notamment du rachis lombaire et/ou du bassin. Ces manques de mobilité peuvent provoquer des tensions anormales dans les muscles et les ligaments, qui peuvent produire une sciatique en comprimant ou en irritant les nerfs sur leur trajet.

Pour soigner une sciatique, un ostéopathe à Paris 16 en recherche la cause. Le problème est donc de trouver la zone où le nerf sciatique est comprimé ou irrité. Connaissant l’anatomie, lorsqu’un patient décrit sa douleur et les circonstances dans lesquelles elle survient, l’ostéopathe peut facilement en identifier la ou les causes.

Elle peut aussi se baser sur des examens complémentaires ou des tests cliniques que le patient est en mesure de subir. Un ostéopathe procédera à un examen général et local du patient (rachis lombaire, bassin, organes internes, etc.). Ainsi, il identifiera un dysfonctionnement orthopédique (articulations, ligaments, muscles ou viscères).

Comment un ostéopathe peut-il soulager une sciatique ?

Les gestes ostéopathiques pour la sciatique convoitent à diminuer les tensions lombaires et pelviennes grâce à des traitements ajustés aux besoins de chaque patient.

Grâce à un examen clinique précis, un ostéopathe à Paris 16 peut identifier les zones douloureuses. Il établit alors un diagnostic précis et traite la cause de la sciatique. Enfin, par des manipulations douces, l’ostéopathe traite différentes zones du corps (bas du dos, bassin, abdomen, cage thoracique, etc.).

Au cœur du traitement d’un ostéopathe se trouve le soin de :

• Maladies musculo-squelettiques, musculaires, ligamentaires et articulaires (site d’action : bassin, muscle psoas, rachis lombaire, diaphragme, etc.)
• Système lymphatique des jambes
• Système postural du corps (mandibule, système oculomoteur, colonne lombaire et pieds)

S’il s’agit d’une sciatique causée par une hernie discale, le traitement ostéopathique doit être précis et soigneux .Dès la première consultation, l’ostéopathe redonne de la mobilité dans la région lombo-pelvienne. Il apporte bonheur et soulagement. Après quelques jours de repos, la douleur diminuera progressivement .Une deuxième consultation deux semaines plus tard peut être bénéfique pour poursuivre le travail ostéopathique.