Mois : mars 2021

En moyenne, le prix d’une assurance maladie commune « classique » pour une famille composée de 2 adultes et 2 enfants est de 1123,20 euros par an, et que pour une famille avec un couple de 60 ans est de 2600 euros par an : contrats avec garanties renforcées. Par conséquent, la souscription d’une complémentaire santé est essentielle pour prendre en charge votre budget santé, d’autant plus que les factures de santé mal remboursées augmentent d’année en année.

La spiruline est précieuse car elle permet de lutter contre les carences en protéines, la malnutrition et l’anémie grâce à sa composition en fer, minéraux et vitamines. Mais ses vertus dans une consommation quotidienne ne s’arrêtent pas là.

Toute personne qui a perdu un parent sait que c’est une expérience accablante, chargée de chagrin et de douleur. Il y a aussi un certain degré de stress, surtout quand on se demande ce qu’il faut faire ensuite.

Pour minimiser le stress familial lors du décès d’un parent, il est bon d’avoir une liste de contrôle pour vous guider dans vos responsabilités au cours des 48 heures suivant le décès. Qu’il s’agisse de contacter les autorités compétentes ou d’organiser les funérailles, il y a beaucoup de choses à faire.

N’oubliez pas qu’il est préférable de partager ces responsabilités avec d’autres personnes, si possible. Considérez les tâches de la liste de contrôle suivante non seulement comme des tâches à accomplir par vous-même, mais aussi comme des tâches à déléguer. 

Ce qu’il faut faire immédiatement après le décès d’un parent

Lorsqu’un parent décède, certaines questions pratiques doivent être réglées le plus rapidement possible : 

1. Contactez les autorités compétentes pour obtenir un certificat de décès. Quelqu’un devra informer officiellement les bonnes personnes du décès de votre proche. Seules certaines personnes sont autorisées à déclarer le décès.  

Si la personne est décédée à domicile dans le cadre d’un programme de soins palliatifs, appelez l’organisme de soins palliatifs, qui se chargera des démarches. 

S’il est décédé dans un hôpital, une maison de soins infirmiers ou un établissement de soins palliatifs, une personne sur place contactera les autorités pour obtenir un certificat de décès. 

Si la personne est décédée à la maison, mais pas dans un établissement de soins palliatifs, vous devrez appeler le 911. Ils transporteront la personne à l’hôpital, où un médecin prononcera le décès.  Quoi qu’il en soit, prévenez également le médecin de famille. 

2. Renseignez-vous sur le don d’organes. Si votre parent était un donneur d’organes, des dispositions doivent être prises immédiatement après le décès. Si vous n’êtes pas sûr de la volonté de votre parent à cet égard, vérifiez son permis de conduire. Une procuration de soins de santé est un autre bon point de départ. Contactez un hôpital, faites-lui part de vos besoins, et il vous guidera. Cela s’applique également aux situations où le défunt souhaitait faire don de son corps à la science. 

3. Préparez les funérailles. Une fois le don d’organes réglé, et si une autopsie n’est pas nécessaire, un salon funéraire ou un crématorium devra venir transporter le corps de la morgue.  Si votre parent avait souscrit un plan d’enterrement prépayé, il vous suffit d’appeler la morgue, qui s’occupera de tout à partir de ce moment. Si aucun arrangement funéraire n’a été pris, vous et votre famille devez-vous réunir pour choisir un salon funéraire, choisir entre l’inhumation et la crémation, décider d’un budget, et trouver et organiser un lieu d’inhumation. Lorsque vous choisissez les produits d’inhumation pour le service, vous voudrez probablement que tout le monde soit présent lors du processus de décision. Vous aurez ainsi la meilleure chance d’obtenir un service adapté qui répondra aux besoins de chacun. 

Pour les familles dont l’être cher n’avait pas prévu d’arrangements funéraires, les considérations financières peuvent entrer en jeu à ce stade. Si c’est le cas pour vous et votre famille, vous pouvez passer directement à la section intitulée « Dans les semaines à venir ». Elle traite du règlement des comptes et d’autres questions financières.

Ce qu’il faut faire dans les jours qui suivent le décès d’un parent

Une fois que les préoccupations immédiates ont été traitées, voici ce qu’il faut faire dans les jours qui suivent le décès d’un parent.

• Prévenir les autres membres de la famille. Il s’agit souvent d’une tâche qui peut être déléguée. Elle peut aussi être amplifiée en demandant au premier groupe de personnes que vous contactez d’en informer les autres.  
• Appelez l’employeur de votre parent. Si votre parent travaillait encore, renseignez-vous sur ses avantages sociaux et sur le versement éventuel d’un salaire.
• Prenez soin de leur maison. Il faudra s’occuper de la maison, de la voiture et des animaux de votre parent au cours des prochains jours. Assurez-vous que tout est bien fermé à clé et demandez à la police ou au gestionnaire immobilier de garder un œil sur tout, si vous n’êtes pas dans les environs immédiats. Pour les animaux de compagnie, trouvez un voisin, un ami ou un membre de la famille pour les héberger temporairement jusqu’à ce qu’une solution permanente soit trouvée. Une personne proche pourrait également s’occuper du courrier qui s’accumule, sortir les poubelles ou arroser les plantes.
• Contactez la compagnie d’assurance-vie. Si votre parent avait une police d’assurance-vie, vous devrez contacter le titulaire de la police pour entamer le processus de soumission du certificat de décès, recevoir les informations sur le paiement de la police et, si nécessaire, allouer de l’argent pour les frais funéraires et d’enterrement. Sachez que, si le conjoint de votre parent est en vie, il se peut que vous ne receviez pas la totalité du paiement de la police, même si vous êtes le seul bénéficiaire.